Vacances au port de l’amer (à la manière de PEF) – Mots tordus.
Par une belle fournée d’été je décidais de partir en vacances au port de l’Amer. Dès le premier jour j’ai voulu prendre des couleurs, j’ai étalé mon bras de daim, mais impossible de pester allongée, trop de tables volaient. Je me suis approchée de l’eau, mais les bagues déferlantes en se retirant découvraient des cochers recouverts de poules. Je me suis rendue au mort de mèche, mais oh ! le vilain spectacle : une multitude de couettes pieuses volaient au dessus des bas. Cela a jeté un froid dans tout le mort, en polaire j’ai pris mon râteau et décidais de longer les bottes. Là encore un désolant spectacle m’attendait : mon râteau était encerclé par des moissons collants, c’était le boute qui faisait déborder la vase, brise de manique je suis ventrée à la raison, il s’en est fallu de peu que je ventre à la page.